La revue Nature a publié il y a quelques jours un article d’Aleksandra Cichocka, directrice du département de psychologie politique à l’Université du Kent à Canterbury. Conspiracy Watch en propose ici une traduction.
En cherchant à prouver que le « Russiagate » n’est qu’une « fake news », le site « France Soir » démontre surtout qu'il a basculé dans le complotisme le plus échevelé.
À la tête d’une immense machine à désinformer, l’oligarque incarne à lui seul le concept de la « guerre hybride » et se tiendrait déjà prêt pour perturber l’élection américaine de novembre.
Sur les réseaux sociaux, des complotistes adeptes de QAnon relayés par des personnalités pro-Trump accusent des activistes d'extrême gauche d'être derrière les incendies criminels qui ravagent l'Oregon.
Le mouvement QAnon a pris une ampleur telle qu'il ne peut plus être ignoré. Voici comment les grandes plateformes numériques pourraient entraver sa progression.
En 2013, le monde découvrait les images de la terrible attaque chimique perpétrée dans la Ghouta de Damas par le régime syrien. Un crime nié par un chercheur du MIT à la retraite et un « journaliste indépendant » fan de Dieudonné. Autopsie d’un cas d’école.