Doan Bui et Leslie Plée nous emmènent de l'autre côté du miroir complotiste. Un vade-mecum très utile à mettre sous le sapin à l'approche des fêtes de fin d'année.
Il est toujours réjouissant de voir Sherlock Holmes mépriser l’antisémitisme, non seulement en tant qu’insulte à la logique, mais aussi en tant qu’idéologie aux antipodes de sa propre humanité.
Sorti sur les écrans le 13 octobre dernier, « L’Homme de la cave » met en scène la manière dont le complotisme et le négationnisme peuvent gangréner la société.
Depuis plus de quinze ans, la rappeuse altermondialiste Keny Arkana banalise un complotisme radical. Dans l'un de ses derniers titres, elle pourfend les « médecins collabos arrosés par Big Pharma »...
Pourquoi QAnon, la théorie du complot en passe d'englober toutes les autres, était culturellement inévitable. Un texte de notre collaborateur Paul Memmi, à retrouver en exclusivité dans "Le Grand Continent".
On croit que les théories complotistes concernant l’origine du virus datent d’aujourd’hui ? Détrompez-vous, dès les années 1960, de grands classiques de la bande dessinée franco-belge émettent des hypothèses, pas forcément loufoques, mais souvent très connotées. Petit tour d’horizon.
Tourné en 1962 avec un budget de 80 000 dollars, « The Intruder », de Roger Corman, est un classique du cinéma politique américain. Un brûlot contre la démagogie raciste et le complotisme.