Élie Guckert est journaliste indépendant, spécialiste de la propagande russe et des conflits en Ukraine et en Syrie. Il a collaboré avec Mediapart, Disclose, Bellingcat, Slate, Street Press et Conspiracy Watch.
Conspiracy Watch a pu visionner l’entretien avec l’activiste panafricaniste franco-béninois Kemi Seba déprogrammé par LCP. Le directeur adjoint de la rédaction du Figaro, Yves Thréard, n’y informe pas son public au sujet du parcours sulfureux de son invité. Ni de ses liens avec le Kremlin et son appareil de propagande en Afrique.
Mise à la une de l’actualité par la pandémie de Covid-19 puis par la guerre russe contre l’Ukraine, la présidente de la Commission européenne incarne pour les complotistes un totalitarisme européen inféodé aux États-Unis et ennemi de la souveraineté des peuples.
Passé par Sud Radio et CNews, Éric Morillot fait désormais exploser les compteurs d’audience pour la web-télé d’extrême droite TV Libertés en agrégeant autour de lui identitaires, antivax et pro-Poutine.
The Grayzone s’est imposé au fil des années comme l’un des principaux médias conspirationnistes pro-Kremlin aux États-Unis. Les preuves de ses liens avec l’écosystème de la propagande russe s’accumulent.
L’ex-trafiquant de cocaïne auteur de brûlots sur les scandales de la jet-set dénonce les pédocriminels et les « reptiliens » qui pulluleraient dans le show-biz. Des « révélations » qui passionnent la complosphère.
La blogueuse canadienne a rejoint une parodie de tribunal censé juger des crimes de guerre ukrainiens. Une consécration après des années passées à propager fausses informations et théories du complot pour les régimes les plus autoritaires de la planète.
L’alerte est lancée le 7 juillet par Le Média sur YouTube : « Denis Robert veut tuer Le Média ! […] Aujourd’hui, il vient de faire saisir nos comptes à hauteur de 86 911 €, nous laissant seulement 2 500 € ». L’ancien rédacteur en chef de la chaîne, qui a depuis fondé Blast, a remporté son procès aux prud’hommes contre Le Média début juin, condamnant le site proche […]
Fondateur d’un think tank remarqué pour son tropisme pro-Kremlin, l’ancien officier de renseignement fait le bonheur de la complosphère qui veut voir une manipulation médiatique derrière la guerre en Ukraine.
Après avoir diffusé des théories du complot sur le Covid-19, l’ancien sénateur Yves Pozzo di Borgo est revenu à son discours originel à l’occasion de l’invasion de l’Ukraine en relayant la propagande du Kremlin.
La Russie mène en Ukraine une guerre contre l’information largement observée en Syrie depuis des années. Une stratégie qui met en scène les mêmes acteurs ayant déjà relayé les mêmes théories complotistes éculées pour masquer les crimes de Vladimir Poutine et de Bachar el-Assad.