Dans son Journal d'un prisonnier, Nicolas Sarkozy règle ses comptes avec la justice. Au détriment des faits et en épousant tous les schèmes de l'imaginaire conspirationniste contre les juges et la presse.
Sans jamais endosser explicitement l’idée d’un complot interne, Benyamin Netanyahou et plusieurs figures de la droite israélienne multiplient depuis le 7-Octobre les sous-entendus sur un supposé « coup d’État silencieux » orchestré par la gauche et des élites sécuritaires déloyales.
En validant un scénario d’assassinat politique attribué à l’Élysée, Pavel Durov ne se contente plus d’offrir un refuge technique à la désinformation : il en devient un acteur de premier plan.
En contestant l’existence d’un « antisémitisme de gauche », l’historien Julien Théry s’inscrit dans une longue tradition de déni. Une lecture attentive de l’histoire et de ses zones d’ombre montre pourtant combien la gauche a pu, jusqu'à aujourd'hui, relayer des représentations hostiles aux juifs.
Trente ans après l'assassinat du Premier ministre travailliste par un fanatique religieux, les théories du complot permettent à la droite nationaliste au pouvoir de s’exonérer de sa responsabilité morale.
La plainte contre X déposée par l'épouse du président de la République a conduit à la mise en examen de 10 internautes, dont plusieurs figures connues de la mouvance complotiste française. Conspiracy Watch était présent au procès qui s'est tenu au Tribunal de Paris pendant deux jours en début de semaine.
Un documentaire exclusif de 35 minutes où vous retrouverez plusieurs collaborateurs de Conspiracy Watch comme Tristan Mendès France, Victor Mottin ou encore Mike Rothschild.
Alors que Dahbia Benkired vient d’être condamnée à la réclusion à perpétuité, la complosphère réactive la piste d’un « crime rituel ». Entre sensationnalisme et indignité, Karl Zéro, Youssef Hindi ou encore Géopolitique Profonde insinuent une vérité étouffée et une justice corrompue. Sans jamais apporter le moindre élément probant...