Conspiracy Watch | l'Observatoire du conspirationnisme
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Conspiracy News #32.2021

Publié par La Rédaction08 août 2021

L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 02/08/2021 au 08/08/2021).

LE DESSIN DE LA SEMAINE.

EMMANUEL MACRON. Sur les réseaux sociaux, le chef de l'État a répondu au cours de la semaine écoulée aux questions des internautes sur le vaccin contre le Covid-19. Une façon selon lui de contrer les « fausses informations » et « fausses rumeurs » qui se propagent en s’adressant plus directement à un public jeune. Quelques jours après le début de l’opération, le président de la République a expliqué avoir « reçu beaucoup de questions pour savoir si avec le vaccin on devient titan, si on capte la 5G, si cet étrange tee-shirt que j'avais il y a quelques jours signifie quelque chose politiquement » (source : Le Parisien, 3 août 2021 ; LCI, 4 août 2021). Le logo en forme de hibou figurant sur son tee-shirt lors de sa première intervention a engendré plusieurs spéculations quant à la volonté supposée du chef de l'État de faire passer un message subliminal. Certains ont voulu y voir une allusion au Bohemian Club, un cercle de sociabilité américain ultra-élitiste au sujet duquel les complotistes fantasment depuis des décennies.

QANON. Né aux États-Unis, le mouvement complotiste QAnon a essaimé un peu partout dans le monde et notamment en France, où il surfe sur le complotisme sanitaire. Le mouvement QAnon ne s’est pas éteint avec le départ de Donald Trump de la Maison-Blanche. En France, après avoir accusé le coup, des réseaux conspirationnistes continuent ainsi d’analyser les événements à travers le filtre des théories QAnon et d’engranger une audience toujours importante. Tour d’horizon (source : Conspiracy Watch, 4 août 2021).

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. Des chercheurs ont utilisé un générateur de textes pour créer de faux tweets et de faux articles inspirés de la sphère complotiste QAnon. L’expérience montre que ces messages simulent à la perfection l’écriture humaine et peuvent influer sur l’opinion des gens. Avec l’intelligence artificielle, la désinformation passe au stade industriel… (source : 01net.com, 5 août 2021).

EXTRÊME DROITE. Après les annonces d’Emmanuel Macron du 12 juillet 2021, les partis d'extrême droite et eurosceptiques ont surfé sur les craintes relatives aux vaccins pour diffuser de la désinformation sur le Covid-19, promouvoir des messages antivaxx et gagner du terrain politique. Alors que les manifestations font rage à travers la France et que la quatrième vague s’accélère, de faux comptes contribuent à amplifier ces messages (source : medium.com, 4 août 2021).

OUTRE-MER. 36 médecins provenant des Outre-mer se sont fédérés dans une tribune diffusée le mardi 3 août par le média RCI. S'appuyant sur des données scientifiques, ces médecins ont appelé la population à se faire vacciner pour freiner la catastrophe sanitaire en cours dans les territoires d'outre-mer. « Nous souhaitons que cet appel permette aux nôtres de vaincre leurs peurs, la désinformation, les fake news, et les contre-vérités scientifiques abondamment répandues » ont-ils notamment déclaré dans leur message (source : RCI, 3 août 2021).

LAURENT MUCCHIELLI. Directeur de recherche au CNRS, spécialisé dans l’étude des phénomènes de délinquance, Laurent Mucchielli est devenu l’un des visages de la mouvance covido-sceptique. Dans un article publié sur le blog qu'il tient sur Mediapart, le sociologue avait mis en avant une « mortalité inédite » liée à la vaccination et fait valoir une urgence à suspendre « la vaccination de masse contre le Covid-19 ». De nombreux médecins ont dénoncé l’article qui a été supprimé par Mediapart. Mucchielli est aujourd’hui controversé au sein même du CNRS. Conspiracy Watch rappelle les récentes prises de position de celui que l’on a vu intervenir dans des médias ouvertement complotistes (source : Conspiracy Watch, 6 août 2021).

DÉSINFO COVID. Les fake news pullulent sur les réseaux sociaux mais n'auraient pas, en réalité, un très grand nombre de sources distinctes. Elles reposeraient sur l’activité d'une poignée d'individus. Un rapport publié par le Center for Countering Digital Hate (CCDH) révèle à ce titre que deux tiers des fausses informations circulant à propos des vaccins contre le Covid-19 seraient propagées par 12 personnes cumulant sur divers réseaux sociaux un total de 59 millions d’abonnés (source : clubic.com, 4 août 2021).

Des études à la méthodologie bancale et aux conclusions bâclées traitant du Covid-19 échauffent les débats sur les réseaux sociaux, conférant une crédibilité scientifique au scepticisme anti-vaccins alors que la crise de l'information continue de faire des ravages en matière de santé publique. La rétractation d’études défaillantes ne suffit pas à calmer les passions qu'elles génèrent sur Internet (source : Nice-Matin, 30 juillet 2021).

ANTIVAXX. L’avocat Carlo Alberto Brusa, figure de la complosphère et conseil de la députée Martine Wonner, a diffusé sur Internet un montage présentant le Président de la République Emmanuel Macron en costume du dictateur de Charlie Chaplin. Conformément à une narration complotiste répandue et exacerbée par la crise sanitaire, l’affiche met en exergue les noms de Jacques Attali et de George Soros (pour rappel : Conspiracy Watch, 19 mars 2020). Elle désigne également certains médias et le laboratoire Pfizer (source : Licra/Twitter, 3 août 2021).

AKHENATON. Le chanteur du groupe IAM s’était prononcé contre le « pass sanitaire ». Il avait en outre exprimé son covido-scepticisme dans un récent titre musical. Testé positif au Covid-19, Akhenaton a été pris en charge par les urgences vitales de l'hôpital de la Timone (Marseille) pour détresse respiratoire le dimanche 1er août (source : BFMTV, 4 août 2021).

SILVANO TROTTA. Sur la chaîne Telegram de Silvano Trotta (60.000 abonnés) comme sur d’autres canaux, Laurent Fabius a été l’objet de multiples attaques après la décision du Conseil constitutionnel, qu’il préside, de valider l’extension du « pass sanitaire ». Un déversoir autant qu’un défouloir, avec une imagerie antijuive à la clé (source : Raphaël Grably/Twitter, 5 août 2021).

AFRIQUE. Depuis le début de la pandémie, les fausses informations, via Facebook, WhatsApp ou encore TikTok, fourmillent sur le continent africain et ne désenflent pas. En tout, plus de 9000 fake news auraient circulé autour du coronavirus, selon une enquête de l'Institut américain Poynter. Alors qu'à peine 2% du continent a reçu un schéma vaccinal complet, la prolifération de fausses nouvelles continue de mettre à mal l'adhésion des Africains au vaccin anti-Covid (source : Le Figaro, 27 juillet 2021).

INDONÉSIE. Les conspirationnistes de Singapour prospèrent sur Telegram, tandis qu'une star du rock et un ancien responsable de la santé font courir des rumeurs dans le pays. En Asie du Sud-Est, les lois contre les fake news ne parviennent pas à endiguer la désinformation sur le Covid-19 (source : Rest of world, 28 juillet 2021).

BRÉSIL. Les attaques constantes et sans preuves de Jair Bolsonaro contre le système électoral vont être épluchées. Un juge de la Cour suprême du Brésil a ordonné, le 4 août, l’ouverture d’une enquête contre le président brésilien pour diffusion de fausses informations (source : Le Monde, 5 août 2021).

BEYROUTH. Dans un rapport intitulé « Ils nous ont tués de l’intérieur », l’ONG Human Rights Watch a publié les résultats de son enquête sur les explosions du 4 août 2020, et mis en évidence la négligence criminelle des autorités libanaises. Durant l'année qui a suivi le drame, une série de défauts procéduraux et systémiques dans l’enquête nationale ont rendu les autorités libanaises incapables, malgré leur promesse, de rendre justice de manière crédible, comme le manque d'indépendance judiciaire ou l'immunité des hauts responsables politiques (source : L’Orient-Le Jour, 3 août 2021). On se souvient que la catastrophe avait donné lieu à de multiples spéculations conspirationnistes (source : Conspiracy Watch, 6 août 2020).

AL-QAÏDA. Le 15 juillet, l’organisation terroriste islamiste Al-Qaïda a diffusé une vidéo condamnant le blasphème incarné par les caricatures de Mahomet et attaquant la France. Le message délivré visait notamment la loi qui pénalise le négationnisme mais pas le blasphème. « Vous emprisonnez ceux qui mettent en doute les estimations controversées (des victimes de l’Holocauste) », peut-on entendre dans une vidéo de l'organisation djihadiste tandis qu'apparaît à l'écran le visage d’Alain Soral (source : Conspiracy Watch/Twitter, 2 août 2021).

SANS MODÉRATION. 90% des publications antisémites sur les réseaux sociaux restent sur Facebook et Twitter même après avoir été signalées, a révélé une nouvelle étude. Le Center for Countering Digital Hate (CCDH) a mené une étude sur 714 publications antisémites publiées sur Facebook, Twitter, Instagram, YouTube et TikTok. L’analyse a révélé que 84 % des messages, après avoir été signalés, demeuraient en ligne. Le taux monte à 90 % en ce qui concerne Facebook et Twitter. Pour Imran Ahmed, directeur général du CCDH, l'étude montre que les plateformes de réseaux sociaux sont « un espace sûr où les racistes peuvent banaliser leur complotisme et leur rhétorique haineuse sans craindre de conséquences » (source : antisemitism.org, 2 août 2021).

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LE DESSIN DE LA SEMAINE.

EMMANUEL MACRON. Sur les réseaux sociaux, le chef de l'État a répondu au cours de la semaine écoulée aux questions des internautes sur le vaccin contre le Covid-19. Une façon selon lui de contrer les « fausses informations » et « fausses rumeurs » qui se propagent en s’adressant plus directement à un public jeune. Quelques jours après le début de l’opération, le président de la République a expliqué avoir « reçu beaucoup de questions pour savoir si avec le vaccin on devient titan, si on capte la 5G, si cet étrange tee-shirt que j'avais il y a quelques jours signifie quelque chose politiquement » (source : Le Parisien, 3 août 2021 ; LCI, 4 août 2021). Le logo en forme de hibou figurant sur son tee-shirt lors de sa première intervention a engendré plusieurs spéculations quant à la volonté supposée du chef de l'État de faire passer un message subliminal. Certains ont voulu y voir une allusion au Bohemian Club, un cercle de sociabilité américain ultra-élitiste au sujet duquel les complotistes fantasment depuis des décennies.

QANON. Né aux États-Unis, le mouvement complotiste QAnon a essaimé un peu partout dans le monde et notamment en France, où il surfe sur le complotisme sanitaire. Le mouvement QAnon ne s’est pas éteint avec le départ de Donald Trump de la Maison-Blanche. En France, après avoir accusé le coup, des réseaux conspirationnistes continuent ainsi d’analyser les événements à travers le filtre des théories QAnon et d’engranger une audience toujours importante. Tour d’horizon (source : Conspiracy Watch, 4 août 2021).

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. Des chercheurs ont utilisé un générateur de textes pour créer de faux tweets et de faux articles inspirés de la sphère complotiste QAnon. L’expérience montre que ces messages simulent à la perfection l’écriture humaine et peuvent influer sur l’opinion des gens. Avec l’intelligence artificielle, la désinformation passe au stade industriel… (source : 01net.com, 5 août 2021).

EXTRÊME DROITE. Après les annonces d’Emmanuel Macron du 12 juillet 2021, les partis d'extrême droite et eurosceptiques ont surfé sur les craintes relatives aux vaccins pour diffuser de la désinformation sur le Covid-19, promouvoir des messages antivaxx et gagner du terrain politique. Alors que les manifestations font rage à travers la France et que la quatrième vague s’accélère, de faux comptes contribuent à amplifier ces messages (source : medium.com, 4 août 2021).

OUTRE-MER. 36 médecins provenant des Outre-mer se sont fédérés dans une tribune diffusée le mardi 3 août par le média RCI. S'appuyant sur des données scientifiques, ces médecins ont appelé la population à se faire vacciner pour freiner la catastrophe sanitaire en cours dans les territoires d'outre-mer. « Nous souhaitons que cet appel permette aux nôtres de vaincre leurs peurs, la désinformation, les fake news, et les contre-vérités scientifiques abondamment répandues » ont-ils notamment déclaré dans leur message (source : RCI, 3 août 2021).

LAURENT MUCCHIELLI. Directeur de recherche au CNRS, spécialisé dans l’étude des phénomènes de délinquance, Laurent Mucchielli est devenu l’un des visages de la mouvance covido-sceptique. Dans un article publié sur le blog qu'il tient sur Mediapart, le sociologue avait mis en avant une « mortalité inédite » liée à la vaccination et fait valoir une urgence à suspendre « la vaccination de masse contre le Covid-19 ». De nombreux médecins ont dénoncé l’article qui a été supprimé par Mediapart. Mucchielli est aujourd’hui controversé au sein même du CNRS. Conspiracy Watch rappelle les récentes prises de position de celui que l’on a vu intervenir dans des médias ouvertement complotistes (source : Conspiracy Watch, 6 août 2021).

DÉSINFO COVID. Les fake news pullulent sur les réseaux sociaux mais n'auraient pas, en réalité, un très grand nombre de sources distinctes. Elles reposeraient sur l’activité d'une poignée d'individus. Un rapport publié par le Center for Countering Digital Hate (CCDH) révèle à ce titre que deux tiers des fausses informations circulant à propos des vaccins contre le Covid-19 seraient propagées par 12 personnes cumulant sur divers réseaux sociaux un total de 59 millions d’abonnés (source : clubic.com, 4 août 2021).

Des études à la méthodologie bancale et aux conclusions bâclées traitant du Covid-19 échauffent les débats sur les réseaux sociaux, conférant une crédibilité scientifique au scepticisme anti-vaccins alors que la crise de l'information continue de faire des ravages en matière de santé publique. La rétractation d’études défaillantes ne suffit pas à calmer les passions qu'elles génèrent sur Internet (source : Nice-Matin, 30 juillet 2021).

ANTIVAXX. L’avocat Carlo Alberto Brusa, figure de la complosphère et conseil de la députée Martine Wonner, a diffusé sur Internet un montage présentant le Président de la République Emmanuel Macron en costume du dictateur de Charlie Chaplin. Conformément à une narration complotiste répandue et exacerbée par la crise sanitaire, l’affiche met en exergue les noms de Jacques Attali et de George Soros (pour rappel : Conspiracy Watch, 19 mars 2020). Elle désigne également certains médias et le laboratoire Pfizer (source : Licra/Twitter, 3 août 2021).

AKHENATON. Le chanteur du groupe IAM s’était prononcé contre le « pass sanitaire ». Il avait en outre exprimé son covido-scepticisme dans un récent titre musical. Testé positif au Covid-19, Akhenaton a été pris en charge par les urgences vitales de l'hôpital de la Timone (Marseille) pour détresse respiratoire le dimanche 1er août (source : BFMTV, 4 août 2021).

SILVANO TROTTA. Sur la chaîne Telegram de Silvano Trotta (60.000 abonnés) comme sur d’autres canaux, Laurent Fabius a été l’objet de multiples attaques après la décision du Conseil constitutionnel, qu’il préside, de valider l’extension du « pass sanitaire ». Un déversoir autant qu’un défouloir, avec une imagerie antijuive à la clé (source : Raphaël Grably/Twitter, 5 août 2021).

AFRIQUE. Depuis le début de la pandémie, les fausses informations, via Facebook, WhatsApp ou encore TikTok, fourmillent sur le continent africain et ne désenflent pas. En tout, plus de 9000 fake news auraient circulé autour du coronavirus, selon une enquête de l'Institut américain Poynter. Alors qu'à peine 2% du continent a reçu un schéma vaccinal complet, la prolifération de fausses nouvelles continue de mettre à mal l'adhésion des Africains au vaccin anti-Covid (source : Le Figaro, 27 juillet 2021).

INDONÉSIE. Les conspirationnistes de Singapour prospèrent sur Telegram, tandis qu'une star du rock et un ancien responsable de la santé font courir des rumeurs dans le pays. En Asie du Sud-Est, les lois contre les fake news ne parviennent pas à endiguer la désinformation sur le Covid-19 (source : Rest of world, 28 juillet 2021).

BRÉSIL. Les attaques constantes et sans preuves de Jair Bolsonaro contre le système électoral vont être épluchées. Un juge de la Cour suprême du Brésil a ordonné, le 4 août, l’ouverture d’une enquête contre le président brésilien pour diffusion de fausses informations (source : Le Monde, 5 août 2021).

BEYROUTH. Dans un rapport intitulé « Ils nous ont tués de l’intérieur », l’ONG Human Rights Watch a publié les résultats de son enquête sur les explosions du 4 août 2020, et mis en évidence la négligence criminelle des autorités libanaises. Durant l'année qui a suivi le drame, une série de défauts procéduraux et systémiques dans l’enquête nationale ont rendu les autorités libanaises incapables, malgré leur promesse, de rendre justice de manière crédible, comme le manque d'indépendance judiciaire ou l'immunité des hauts responsables politiques (source : L’Orient-Le Jour, 3 août 2021). On se souvient que la catastrophe avait donné lieu à de multiples spéculations conspirationnistes (source : Conspiracy Watch, 6 août 2020).

AL-QAÏDA. Le 15 juillet, l’organisation terroriste islamiste Al-Qaïda a diffusé une vidéo condamnant le blasphème incarné par les caricatures de Mahomet et attaquant la France. Le message délivré visait notamment la loi qui pénalise le négationnisme mais pas le blasphème. « Vous emprisonnez ceux qui mettent en doute les estimations controversées (des victimes de l’Holocauste) », peut-on entendre dans une vidéo de l'organisation djihadiste tandis qu'apparaît à l'écran le visage d’Alain Soral (source : Conspiracy Watch/Twitter, 2 août 2021).

SANS MODÉRATION. 90% des publications antisémites sur les réseaux sociaux restent sur Facebook et Twitter même après avoir été signalées, a révélé une nouvelle étude. Le Center for Countering Digital Hate (CCDH) a mené une étude sur 714 publications antisémites publiées sur Facebook, Twitter, Instagram, YouTube et TikTok. L’analyse a révélé que 84 % des messages, après avoir été signalés, demeuraient en ligne. Le taux monte à 90 % en ce qui concerne Facebook et Twitter. Pour Imran Ahmed, directeur général du CCDH, l'étude montre que les plateformes de réseaux sociaux sont « un espace sûr où les racistes peuvent banaliser leur complotisme et leur rhétorique haineuse sans craindre de conséquences » (source : antisemitism.org, 2 août 2021).

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