Depuis la découverte de dizaines d’étoiles de David taguées dans Paris, de nombreux commentateurs ont versé dans les discours de haine et le complotisme, au risque de servir les objectifs d’une probable opération de déstabilisation en lien avec la Russie.
La vulnérabilité d’Israël, que certains refusent d’admettre, alimente l’idée que les attaques seraient orchestrées par ceux qui en sont la cible. Un refrain bien connu.
Depuis le 7 octobre, les hostilités entre le Hamas et Israël font l’objet d’une déferlante de théories du complot et de désinformation sur les réseaux sociaux. Cette vague inédite de contenus conspirationnistes met à l’épreuve les politiques de modérations des plateformes, déjà pointées du doigt.
Sidney Powell, l’avocate de Trump, est inculpée pour avoir tenté de manipuler les votes lors de la présidentielle de 2020. Et elle n’est pas la seule...
La réaction de la complosphère, suite à l'invasion des lieux de pouvoir brésiliens, ressemble trait pour trait à la rhétorique martelée par les militants trumpistes depuis l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021.
The Grayzone s’est imposé au fil des années comme l’un des principaux médias conspirationnistes pro-Kremlin aux États-Unis. Les preuves de ses liens avec l’écosystème de la propagande russe s’accumulent.
Suite au putsch au Burkina Faso, de nombreux drapeaux russes ont été vu dans des manifestations anti-France. Ce soutien affiché à la Russie résulte d’une entreprise d’influence puissante, qui n’hésite pas à utiliser des théories du complot.