Le jour des élections, des médias belges ont présenté à tort comme un sondage de sortie des urnes émanant d'Ipsos ce qui n'était en réalité qu'une projection réalisée plusieurs jours plus tôt par un magazine en ligne.
Vingt rappeurs français se défoulent dans un clip où les insultes pleuvent contre l'extrême droite mais aussi contre Emmanuel Macron ou les francs-maçons. Une charge violente et in fine contre-productive.
Pour certains influenceurs complotistes, la séquence politique engagée depuis la dissolution est une grotesque mascarade. À mots couverts ou de manière plus tonitruante, d'autres ont fait le choix de soutenir le Rassemblement national...
Les cadres du RN assurent ne pas adhérer à la théorie complotiste et raciste du « Grand Remplacement ». Pourtant, certaines prises de positions des candidats aux législatives anticipées font craquer ce vernis de respectabilité.
S'il s'attache à produire un discours sur le dérèglement climatique et l'écologie, le RN a investi de nombreux candidats climatosceptiques pour les législatives des 30 juin et 7 juillet prochains.