Le délibéré du procès opposant l'inflectiologue Karine Lacombe à Pierre Barnérias, Christian Perronne et Martine Wonner est prévu pour le 31 mai prochain.
Trois proches de Trump ont reconnu avoir tenté de manipuler le résultat de l’élection présidentielle américaine de 2020. La complosphère, elle, plonge la tête dans le sable.
Donald Trump est de nouveau inculpé par la justice américaine pour ses pressions électorales lors de l’élection présidentielle de 2020 en Géorgie. L’ex-président des Etats-Unis est de retour au tribunal cette semaine pour annoncer s’il plaide coupable ou non dans cette affaire.
L’agression mortelle dont a été victime Yvan Colonna, jugé coupable trois fois de suite de l’assassinat du préfet Erignac, a réactivé la thèse d'un complot de l'État républicain contre la Corse.
Les complotistes, en stigmatisant d’imaginaires conspirations pour expliquer ou même justifier l’invasion de l’Ukraine par la Russie, éludent un authentique « complot contre la paix » concocté par Vladimir Poutine et son régime. Une infraction internationale dont la qualification remonte au procès de Nuremberg.
Le procès de Ghislaine Maxwell, reconnue coupable de crimes sexuels et trafics de mineures au service de Jeffrey Epstein, excite et mobilise la complosphère. Un prétendu combat pour la vérité et la justice qui cache mal un agenda très politique.
Il y a quelques jours, la Cour européenne des Droits de l’Homme a rejeté une requête déposée par la veuve et la fille de Yasser Arafat. Elle a jugé que l’enquête conduite par la justice française avait été sérieuse et qu'elle ne portait pas atteinte au droit à un procès équitable.