Gérald Bronner, auteur de La démocratie des crédules (PUF, 2013), a donné au printemps dernier une conférence au CEFIR. Il y évoque les arguments complotistes qui surviennent presque automatiquement à chaque annonce d'un nouvel attentat terroriste ainsi que les raisons pour lesquelles les théories du complot nous paraissent parfois si irrésistibles.
Le président Macron a fermement mis en garde contre la résurgence du racisme et de l'antisémitisme au travers des fantasmes complotistes qui circulent sur internet.
A l'occasion du séminaire « Vaccination, complotisme et dérives sectaires » organisé demain à Marseille, Serge Blisko, président de la MIVILUDES, revient sur les causes de la réticence croissante d'une partie du public à l'égard de la prévention vaccinale.
Les médias doivent-ils recevoir les conspirationnistes ? Tristan Mendès France tente d'y répondre au micro de Sonia Devillers dans "L'instant M", sur France Inter.
L’été 1967 annonce une coupure entre le premier et le second âge du négationnisme. Suite à la Guerre des Six Jours, les marqueurs discursifs évoluent. Un tournant rhétorique s’opère avec le « soutien au peuple palestinien ».
[LU SUR LE WEB] "Peut-être comprendrait-il mieux le ridicule de ses démonstrations s'il cherchait à se les appliquer à lui-même", écrit le sociologue Gérald Bronner à propos du philosophe et de son interprétation de l'élection présidentielle.
Vous revenez sur cette phrase prononcée hier par Jean-Luc Mélenchon, je cite : « Cazeneuve, le gars qui s’est occupé de l’assassinat de Rémi Fraisse »...