Dans les années 70, sous l'influence d'une extrême-gauche « antisioniste », le négationnisme subit une certaine réorientation, qui s'étend ensuite jusqu'à la fin des années 90 vers le monde arabo-musulman, portée par la star déchue du parti communiste Roger Garaudy.
L'accord intérimaire sur le nucléaire iranien conclu le week-end dernier est vécu par Téhéran comme une victoire sur « les complots ourdis par le régime sioniste ».
Télérama, Libération, Le Nouvel Obs, Le Point, Le Figaro, Europe 1, Ouest-France, TF1, Première, Allociné, Evene (1)... Aucun de ces médias n’est complotiste ou d'extrême droite. Pourtant, tous assurent depuis la semaine dernière à leur insu la promotion sur leurs sites du dernier film de Béatrice Pignède : «L’Oligarchie et le Sionisme». Brisons immédiatement le […]
Pour sa troisième édition, qui s'est tenue du 2 au 6 février 2013, la Conférence sur l'Hollywoodisme s'est proposée d'examiner les liens entre "Hollywood et le Sionisme".
Si le négationnisme visait la vérité historique, il ne multiplierait pas les attaques contradictoires contre les prétendus “exterminationnistes”. Le but est ailleurs. Il s'agit, par des moyens rhétoriques (généralisations abusives, citations controuvées, affirmations péremptoires, fabulations pseudo-historiques, démarche en crabe, dénégations, brouillage des références, argument d'autorité mêlé au sarcasme crispé...), de saper la crédibilité des universitaires […]