La dernière élection présidentielle américaine a bel et bien donné lieu à une manipulation politique d'envergure. Et ce n'est pas du tout celle à laquelle croient les partisans de Donald Trump...
À travers ses prises de position et ses méthodes parfois critiquées, le fondateur de WikiLeaks a parfois été la cible de théories conspirationnistes... Il en a aussi alimenté.
Chaque année depuis 2005, la Russie fait voter par l’Assemblée générale des Nations unies une résolution condamnant le nazisme, instrumentalisant sans vergogne une thématique grave afin de détourner l'attention vers l’Occident et, depuis 2014, l’Ukraine.
L’assaut du Capitole, le 6 janvier 2021, est un évènement majeur, et qui continue un an après d’avoir des conséquences sur la vie politique américaine. Il symbolise et révèle la place qu’occupe la mouvance complotiste aujourd’hui aux Etats-Unis, pays dans lequel elle est profondément ancrée, de Kennedy à QAnon.
Il y a tout juste un an, le 6 janvier 2021, des milliers d’hommes et de femmes marchaient sur le Capitole à Washington. Un déferlement de haine s’abattait sur le siège du Congrès américain. Des assaillants convaincus que l'élection présidentielle leur a été "volée" – une idée largement diffusée dans les milieux conspirationnistes.
Le procès de Ghislaine Maxwell, reconnue coupable de crimes sexuels et trafics de mineures au service de Jeffrey Epstein, excite et mobilise la complosphère. Un prétendu combat pour la vérité et la justice qui cache mal un agenda très politique.