Le comportement d'Amel Sakaou sur Facebook confirme que le complotisme, même lorsqu'il nie la réalité du djihadisme, est un marqueur de radicalisation.
[LU SUR LE WEB] Le Kremlin est conscient que son image, au sein de l’opinion publique française, est peu reluisante. Il a donc mis au point une véritable offensive médiatique pour y remédier.