[LU SUR LE WEB] Un homme a ouvert le feu dans une pizzeria, influencé par une théorie du complot anti-Clinton. Pour la presse, ce fait divers illustre l'inquiétante influence des «fake news».
44% des Américains se sont informés sur Facebook pendant la dernière campagne présidentielle américaine. Pour en parler, Sonia Devillers reçoit Tristan Mendès-France, spécialiste des nouveaux usages numériques et enseignant au CELSA de Paris.
On pourrait croire que ces provocations se limitent à des comportements individuels erratiques et isolés. Ce n’est pas le cas. Elles sont aussi le fait de groupes organisés.