Aucune preuve n’indique que Jeffrey Epstein possédait une « liste de clients » ou qu’il a été assassiné selon un mémo officiel de l'administration Trump. Un épilogue auquel la complosphère ne peut se résoudre.
Le réflexe est habituel, quasiment pavlovien. Chaque scrutin est désormais accompagnée d'une petite musique complotiste dénonçant une prétendue « fraude électorale ». Les législatives anticipées n'ont pas dérogé à cette règle.