L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 11/10/2021 au 17/10/2021).
L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 11/10/2021 au 17/10/2021).
L'expression « État profond » (« Deep State » en anglais), s'est largement banalisée dans la littérature conspirationniste avant d'être popularisée avec l'avènement de l'Administration Trump aux États-Unis.
Baslesmasques.com est un site covido-sceptique apparu mi-novembre 2020. Se présentant comme un « média indépendant », il se définit comme « ni complice, ni complotiste » [archive]. Dirigé par le producteur Stéphane Simon (fondateur entre autres de la revue Front populaire de Michel Onfray et du média en ligne Factuel), Baslesmasques.com est un projet associant le groupe […]
Philosophe et politiste, enseignant à Sciences Po Lyon, Philippe Corcuff vient de publier La Grande Confusion*, une somme de plus de 600 pages consacrée aux passerelles idéologiques entre la gauche et la droite, y compris la plus extrême. Entretien.
L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 05/10/2020 au 11/10/2020).
L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 21/09/2020 au 27/09/2020).
L'historien des idées Pierre-André Taguieff* a contribué au dernier numéro de la revue de Michel Onfray dont la couverture est barrée du titre : « L’État profond : le vrai pouvoir à abattre ». Il a accepté de répondre à nos questions.
L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 14/09/2020 au 20/09/2020).
Mardi 15 septembre 2020, dans un live Facebook présentant le dossier du nouveau numéro de sa revue Front populaire (« L’État profond : le vrai pouvoir à abattre »), l'essayiste Michel Onfray s'est défendu de tout complotisme tout en expliquant qu'il existe, à l'échelle planétaire, un État profond « extrêmement organisé » ennemi des peuples dont l'une des missions consisterait précisément à empêcher qu'on sache qu'il existe, notamment en stigmatisant comme « complotistes » tout ceux qui s'aviseraient de le dénoncer...
Une part considérable de l'électorat américain s'apprête à voter dans moins de six mois, non plus seulement pour un populiste de droite passé maître dans l'art du boniment conspirationniste, mais pour des dizaines de candidats au Congrès usant sans vergogne de cette rhétorique manichéenne et diabolisatrice.