Michel Drac (c'est un pseudonyme) est un essayiste et vidéaste d'extrême droite. Il évolue dans la mouvance dite de la Dissidence.
Après avoir été membre du bureau national de l'association soralienne Égalité & Réconciliation, il a co-fondé avec François Sainz une maison d'édition, Le Retour aux sources, spécialisée dans l'édition d'ouvrages complotistes. Michel Drac est aussi l'ancien gérant de la société d'édition Omnia Veritas.
IL A DIT :
« On a eu cet attentat commis par des terroristes assez obligeants pour oublier une carte d’identité sur leur chemin… pour faciliter sans doute leur identification par les forces de police. Je ne ferai pas de commentaire. Je dis : voilà, les gars vont commettre un attentat et ils laissent leur carte d’identité derrière. Très bien. […] sans tomber dans un conspirationnisme effréné, on peut quand même dire que c’est des événements […] on les a perçus comme bizarre, comme s’il y avait quelque chose d’étrange. […] Ça faisait un peu mise en scène […] comme si c’était programmé, comme si les discours qui nous étaient tenus étaient préparés. Il y avait quelque chose de presque convenu dans le compte-rendu médiatique de tous ces événements. […] En soi un événement peu significatif à l’échelle d’un pays comme la France. […] en fait 20 morts à l’échelle de la France, c’est pas grand chose. C’est une demi-journée de grands départs sur les routes ».
Source : "Charlie, le nouveau visage de l'intolérance", Égalité & Réconciliation, 7 janvier 2016.
(Dernière mise à jour le 23/09/2022)
Michel Drac (c'est un pseudonyme) est un essayiste et vidéaste d'extrême droite. Il évolue dans la mouvance dite de la Dissidence.
Après avoir été membre du bureau national de l'association soralienne Égalité & Réconciliation, il a co-fondé avec François Sainz une maison d'édition, Le Retour aux sources, spécialisée dans l'édition d'ouvrages complotistes. Michel Drac est aussi l'ancien gérant de la société d'édition Omnia Veritas.
IL A DIT :
« On a eu cet attentat commis par des terroristes assez obligeants pour oublier une carte d’identité sur leur chemin… pour faciliter sans doute leur identification par les forces de police. Je ne ferai pas de commentaire. Je dis : voilà, les gars vont commettre un attentat et ils laissent leur carte d’identité derrière. Très bien. […] sans tomber dans un conspirationnisme effréné, on peut quand même dire que c’est des événements […] on les a perçus comme bizarre, comme s’il y avait quelque chose d’étrange. […] Ça faisait un peu mise en scène […] comme si c’était programmé, comme si les discours qui nous étaient tenus étaient préparés. Il y avait quelque chose de presque convenu dans le compte-rendu médiatique de tous ces événements. […] En soi un événement peu significatif à l’échelle d’un pays comme la France. […] en fait 20 morts à l’échelle de la France, c’est pas grand chose. C’est une demi-journée de grands départs sur les routes ».
Source : "Charlie, le nouveau visage de l'intolérance", Égalité & Réconciliation, 7 janvier 2016.
(Dernière mise à jour le 23/09/2022)
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