Le FBI envisage la possibilité de fuite accidentelle du Sars-CoV-2 d’un labo chinois. Il n’en fallait pas plus pour réveiller la thèse d’une conspiration criminelle.
Mise à la une de l’actualité par la pandémie de Covid-19 puis par la guerre russe contre l’Ukraine, la présidente de la Commission européenne incarne pour les complotistes un totalitarisme européen inféodé aux États-Unis et ennemi de la souveraineté des peuples.
Ballon chinois et engins volants détruits engendrent des montées de parano, où il est question d’hologrammes, d’extra-terrestres, de « Blue Beam » et d’Antéchrist.
Un ouvrage sur les « chiffres officiels » du Covid-19 truste le haut du classement des meilleures ventes de livres depuis fin janvier. Son succès est le résultat d'une intense campagne promotionnelle orchestrée par la complosphère.
L’intelligence artificielle développée par une société californienne pourrait devenir l’arme idéale des propagateurs de fake news, et ce à moindre coût.
L’Amérique, déplore Vincent Hervouët, « préfère dénigrer les complotistes plutôt que de désigner les comploteurs ». Problème : les soi-disants « comploteurs » ne le sont que dans des récits complotistes réfutés depuis belle lurette.
FranceSoir a cédé sa première place au classement de la désinformation à « Epoch Times », un organe de presse chinois covidosceptique qui sévit dans plus de 30 pays.