Pour Raphaël Enthoven, le scandale Volkswagen fait apparaître deux réactions totalement différentes : la suspicion et l'optimisme. « Entre la paranoïa du suspicieux et la candeur de l'optimiste, c'est le candide qui l'emporte. Car le candide ne condamne que les coupables, alors que le paranoïaque se désintéresse des coupables qu'il voit comme les maillons d'un […]