Sans jamais endosser explicitement l’idée d’un complot interne, Benyamin Netanyahou et plusieurs figures de la droite israélienne multiplient depuis le 7-Octobre les sous-entendus sur un supposé « coup d’État silencieux » orchestré par la gauche et des élites sécuritaires déloyales.
Trente ans après l'assassinat du Premier ministre travailliste par un fanatique religieux, les théories du complot permettent à la droite nationaliste au pouvoir de s’exonérer de sa responsabilité morale.