À l'heure des commémorations italiennes sur les attentats de la gare de Bologne, l'historien Guillaume Origoni revient sur les hypothèses avancées par certains juges d'instruction qui accusent la France d'être complice de l'assassinat d'Aldo Moro ou du crash du DC9 qui reliait Bologne à l'île d'Ustica. Des théories qui flirtent avec le complotisme.
On aura tout dit pour tenter de donner un sens à ces 55 jours qui ont abouti à l’assassinat de cet homme politique plusieurs fois président du Conseil. Et le dossier n'est pas clos.