David Aaronovitch, un chercheur britannique, a énuméré les caractéristiques de ce qu’il appelle « les histoires vaudoues ». Les voici, appliquées à l’affaire Mohammed Al-Dura :
1. L’Autre est capable du pire pour faire progresser sa cause.
Selon les « conspirationnistes », déjà, dans le passé, les Palestiniens se sont livrés à des mises en scène macabres. Par exemple : l’armée israélienne a diffusé, le 5 mai 2002, des images prises depuis un drone, et montrant – selon son interprétation – de fausses funérailles d’un « mort palestinien » revenant subitement à la vie et sautant de son brancard. Cette histoire a été reprise par tous les sites militants mais, en fait, il est impossible d’en vérifier la véracité. Nous ne savons pas s’il s’agit effectivement de fausses obsèques ou si le « mort » joue la comédie pour échapper aux militaires israéliens. (…)
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Voir aussi :
* Charles Enderlin, protagoniste et analyste de l’affaire Al-Dura
* L’affaire al-Dura : des mythes concurrents sur fond d’intifada