Dans Russia Today (RT), le chercheur à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) Maxime Audinet livre un travail d’une précision inédite sur la chaîne d’information russe et son implantation dans l’écosystème « alternatif » de nos démocraties.
Pour semer le doute sur la responsabilité d’Assad dans les attaques chimiques commises en Syrie et décrédibiliser le travail de l’OIAC, la propagande russe s’appuie sur d’anciens diplomates qui ont dénoncé la politique américaine en Irak avant de basculer dans le conspirationnisme.