Nouilles dans le slip d’un collaborateur, humiliations des chroniqueurs, mais tapis rouge pour les invités complotistes et extrémistes… Télé-poubelle ? Télé-ordures ? Télé-crachats ? Les mots sont faibles pour qualifier "Touche pas à mon poste". Déjà condamnée à de multiples amendes, l’émission de C8 ne recule devant aucune limite pour gagner la bataille de l’audimat. À la fin, c’est toujours l’abject qui l’emporte.
Conspiracy Watch a pu visionner l’entretien avec l’activiste panafricaniste franco-béninois Kemi Seba déprogrammé par LCP. Le directeur adjoint de la rédaction du Figaro, Yves Thréard, n’y informe pas son public au sujet du parcours sulfureux de son invité. Ni de ses liens avec le Kremlin et son appareil de propagande en Afrique.
S’ils sont encore minoritaires, certains jeunes Français semblent clairement plus méfiants et sensibles à la désinformation que leurs aînés. Sont-ils aujourd’hui devenus une cible privilégiée de la complosphère ?
Doan Bui et Leslie Plée nous emmènent de l'autre côté du miroir complotiste. Un vade-mecum très utile à mettre sous le sapin à l'approche des fêtes de fin d'année.
Fondateur de Conspiracy Watch, Rudy Reichstadt est l'un des observateurs du complotisme les plus aguerris. Auteur de l'essai, L'Opium des imbéciles, il livre une critique documentée sur les risques d'une trop grande complaisance vis-à-vis des diffuseurs de fausses informations.
L'éducation peut jouer un rôle central dans le développement de la résilience, des connaissances et des compétences analytiques nécessaires pour prévenir et résister aux récits complotistes.