Vétéran de la complosphère, François Asselineau rechausse les crampons pour les élections européennes. Au programme : crise sanitaire, immigration et poutinophilie.
Vétéran de la complosphère, François Asselineau rechausse les crampons pour les élections européennes. Au programme : crise sanitaire, immigration et poutinophilie.
L’autosatisfait président de l’UPR, dont les accointances avec l’extrême droite ne datent pas d’hier, ne jure que par le Frexit. En 2017, il avait obtenu 0,92 % des suffrages au premier tour. Par ici la sortie ?
Où la maladresse d'un administrateur d'une page Facebook complotiste confirme la porosité existant entre les sympathisants de François Asselineau et la mouvance d'extrême-droite qui s'est auto-désignée "la Dissidence".
Avec 0,8% pour François Asselineau et Emmanuel Macron en tête du premier tour des présidentielles devant Marine Le Pen, les militants du candidat UPR crient à la “magouille des résultats”.
Pour le candidat de l’UPR, la « version officielle » des attentats de 2001 est une « théorie du complot »…
LU SUR LE WEB : Muni de ses 500 signatures, il défendra un discours ultrasouverainiste, marqué aussi par ses tendances complotistes.
Par Cécile Jandau (Sud-Ouest)
Par Mathieu Dehlinger
Anti-Europe, anti-Otan, François Asselineau a créé un parti en 2007, l'Union populaire républicaine, qui n'a encore jamais réussi à réunir les 500 signatures nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. Et pourtant, Laurent Ruquier l'a invité sur le plateau très couru de "On n'est pas couché" samedi 20 septembre. Un choix dangereux, pour notre contributrice.
Qu'ils voient une mise en scène derrière la conquête de la Lune ou qu'ils nient la réalité de la pandémie de Covid, les conspirationnistes n'ont pas de limite. En quelques minutes, le CONSPIZAP propose une sélection du pire de ce que notre équipe a vu passer au cours du mois écoulé.