L’autosatisfait président de l’UPR, dont les accointances avec l’extrême droite ne datent pas d’hier, ne jure que par le Frexit. En 2017, il avait obtenu 0,92 % des suffrages au premier tour. Par ici la sortie ?
L’autosatisfait président de l’UPR, dont les accointances avec l’extrême droite ne datent pas d’hier, ne jure que par le Frexit. En 2017, il avait obtenu 0,92 % des suffrages au premier tour. Par ici la sortie ?
Où la maladresse d'un administrateur d'une page Facebook complotiste confirme la porosité existant entre les sympathisants de François Asselineau et la mouvance d'extrême-droite qui s'est auto-désignée "la Dissidence".
Pour le candidat de l’UPR, la « version officielle » des attentats de 2001 est une « théorie du complot »… Président de l’Union populaire républicaine (UPR), François Asselineau est presque systématiquement renvoyé par les médias qui l’interviewent à son penchant pour les théories du complot. Et pour cause : de tous les candidats à […]
LU SUR LE WEB : Muni de ses 500 signatures, il défendra un discours ultrasouverainiste, marqué aussi par ses tendances complotistes.
Par Cécile Jandau (Sud-Ouest)
Anti-Europe, anti-Otan, François Asselineau a créé un parti en 2007, l'Union populaire républicaine, qui n'a encore jamais réussi à réunir les 500 signatures nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle. Et pourtant, Laurent Ruquier l'a invité sur le plateau très couru de "On n'est pas couché" samedi 20 septembre. Un choix dangereux, pour notre contributrice.
François Belliot (1978 -) est un enseignant évoluant dans la mouvance complotiste depuis le début des années 2010. En septembre 2010, il crée son blog (francoisbelliot.fr). Parallèlement, il écrit avec Charles Aissani sous le pseudonyme de Donald Forestier (présenté sur son blog comme « un auteur fictif inventé pour imiter le style des apôtres de […]
François de Siebenthal (1955 - ) est une figure de la complosphère suisse francophone.
Avec 0,8% pour François Asselineau et Emmanuel Macron en tête du premier tour des présidentielles devant Marine Le Pen, les militants du candidat UPR crient à la “magouille des résultats”.