Depuis le début du second mandat de Donald Trump, la science et ses institutions subissent des attaques sans précédent aux États-Unis. Les coupes budgétaires, les purges sémantiques, ou encore les menaces et intimidations visent universités, revues scientifiques et agences de l'État, tandis que les plus hauts responsables relaient des théories directement issues de la complosphère.
Depuis le début du second mandat de Donald Trump, la science et ses institutions subissent des attaques sans précédent aux États-Unis. Les coupes budgétaires, les purges sémantiques, ou encore les menaces et intimidations visent universités, revues scientifiques et agences de l'État, tandis que les plus hauts responsables relaient des théories directement issues de la complosphère.
En recevant le président sud-africain dans le bureau ovale, Donald Trump a diffusé des vidéos montrant, selon lui, des "familles entières" d'agriculteurs blancs fuyant leurs terres. Pour le président américain, les agriculteurs blancs sud-africains sont victimes d’un "génocide".
En recevant le président sud-africain dans le bureau ovale, Donald Trump a diffusé des vidéos montrant, selon lui, des "familles entières" d'agriculteurs blancs fuyant leurs terres. Pour le président américain, les agriculteurs blancs sud-africains sont victimes d’un "génocide".
Un simple cliché publié par l'ancien directeur du FBI sur Instagram a suffi à embraser la complosphère pro-Trump qui l'a interprété comme un appel à assassiner le président des États-Unis.
À deux jours de l’élection présidentielle roumaine, les théories complotistes s’invitent dans le débat électoral. Nationaliste, antivax et fan de Donald Trump, le candidat d’extrême droite George Simion donne du grain à moudre à la sphère complotiste déjà bien implantée en Roumanie.