La blogueuse canadienne a rejoint une parodie de tribunal censé juger des crimes de guerre ukrainiens. Une consécration après des années passées à propager fausses informations et théories du complot pour les régimes les plus autoritaires de la planète.
Kairos (kairospresse.be) est un site belge francophone lancé en 2012 et proposant des contenus à caractère conspirationniste. Kairos se présente comme un « journal antiproductiviste • pour une société décente ». Il affiche ostensiblement son soutien au fondateur de Wikileaks Julian Assange. Le site a été fondé par Christophe De Brouwer, ancien professeur à l'Université […]
L’actu de la semaine décryptée par Conspiracy Watch (semaine du 25/04/2022 au 01/05/2022).
Abdel Zahiri est un militant « antisioniste » et Gilet jaune originaire d'Avignon. Il est le fondateur du groupuscule complotiste RED Family et anime une page Facebook cumulant plus de 38 000 abonnés.
En cherchant à prouver que le « Russiagate » n’est qu’une « fake news », le site « France Soir » démontre surtout qu'il a basculé dans le complotisme le plus échevelé.
L'historien des idées Pierre-André Taguieff* a contribué au dernier numéro de la revue de Michel Onfray dont la couverture est barrée du titre : « L’État profond : le vrai pouvoir à abattre ». Il a accepté de répondre à nos questions.
Alexis Cossette-Trudel (1972 - ) est un vidéaste complotiste québécois. Il anime la chaîne YouTube canadienne francophone Radio-Québec, qui cumule près de 82 000 abonnés et 7,4 millions de vues, ainsi que le site web éponyme (radioquebec.ca).
Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine du 24/02/2020 au 01/03/2020).
L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques est la cible d’une campagne de désinformation au sujet de son enquête sur l’attaque chimique de Douma. Une campagne émanant de personnalités connues pour relayer les propagandes de Damas et de Moscou sur la Syrie.
Pour le chercheur Matthias J. Becker, les décideurs et la société en général ont trop longtemps été aveugles au danger de la radicalisation du langage et de l'expression sans limite des paroles de haine sur Internet, malgré l’impact considérable du Web, notamment chez les jeunes.
