Plus de 3 800 documents liés à l'assassinat du président John Fitzgerald Kennedy et comprenant des enregistrements effectués par la CIA et le FBI, ont été publiés hier par les Archives nationales américaines.
Plus de 3 800 documents liés à l'assassinat du président John Fitzgerald Kennedy et comprenant des enregistrements effectués par la CIA et le FBI, ont été publiés hier par les Archives nationales américaines.
France 3 diffuse à partir du lundi soir 26 juin quatre heures d'interview du président russe avec le réalisateur de "JFK" qui ne contredit jamais le maître du Kremlin, son héros, et lui laisse proférer de multiples mensonges.
Alors qu'est annoncée une nouvelle déclassification de documents sur l'assassinat de JFK, l'historien Vincent Quivy, auteur de « Qui n'a pas tué John Kennedy ? », nous explique pourquoi le flot d’histoires que l'affaire a engendré a fini par recouvrir la vérité.
Donald Trump peut être vu à plusieurs titres comme l’héritier direct de ce courant « pseudo-conservateur » analysé en son temps par l’historien Richard Hofstadter dans sa célèbre conférence sur le style paranoïaque dans la politique américaine. Un courant extrémiste de droite qu’ont pu incarner successivement des personnalités telles que Ron Paul ou Sarah Palin. […]
Interviewé par Libération, Rudy Reichstadt explique l’essor du complotisme par une défiance accrue vis-à-vis des autorités combinée à une diffusion instantanée de l'information et des récits qu'elle produit.
Des complotistes affirmaient que l'image de l'assassin présumé de JFK, posant avec un fusil, avait été retouchée pour l'accabler.
Agacé par le manque de rigueur des conspirationnistes, le sceptique américain Robert Blaskiewicz a tenté de remonter à l'origine de l'expression "théorie du complot". Résultat : non, le terme n'a pas été créé dans le cadre d'une "opération psychologique" menée par la CIA. 80 ans avant la création de l'agence de renseignements, on utilisait déjà couramment l'expression "conspiracy theory" dans son sens actuel.
On pourrait croire que ces provocations se limitent à des comportements individuels erratiques et isolés. Ce n’est pas le cas. Elles sont aussi le fait de groupes organisés.
Trois jours après la publication de l'article du controversé journaliste américain Seymour Hersh sur les circonstances de l'élimination d'Oussama Ben Laden, PressTV a surenchéri en donnant la parole à un activiste d'extrême droite affirmant sans détour que le chef d'Al-Qaïda n'a pas été tué en mai 2011 au Pakistan mais dix ans plus tôt, en […]