Les premiers éléments de l’enquête sur l’assassinat de Boris Nemtsov permettent de porter un jugement rétrospectif sur les théories du complot qui n’ont pas manqué d’apparaître immédiatement après la mort de l’opposant russe.
Les premiers éléments de l’enquête sur l’assassinat de Boris Nemtsov permettent de porter un jugement rétrospectif sur les théories du complot qui n’ont pas manqué d’apparaître immédiatement après la mort de l’opposant russe.
Les propos du candidat aux primaires républicaines aux Etats-Unis sont relayés par des sites conspirationnistes. L’écroulement des médias traditionnels a laissé la place au chaos des réseaux sociaux. Et le phénomène est loin d’être exclusivement américain. Un «facho», Donald Trump ? Manifestement. Et les médias américains semblent commencer à le découvrir. Légèrement perturbé ? Apparemment, […]
Vues comme des productions folkloriques, les théories du complot nous font souvent rire. Jusqu’au moment où on ne rit plus, explique le philosophe australien Patrick Stokes dans ce texte, publié quelques jours après le massacre perpétré le mois dernier à l'église de Charleston, aux Etats-Unis.
Quelle est l'origine de cette fausse information ? Par quels médias a-t-elle transité ?
Dans son dernier numéro, Le Monde diplomatique publie un dossier sur le conspirationnisme qui ne manque pas d’intérêt. On y retrouve cependant les ambiguïtés qui, depuis plusieurs années maintenant, accompagnent presque toutes les tentatives d’approcher l’objet « théorie du complot » au sein de la gauche antilibérale.
On pourrait croire que ces provocations se limitent à des comportements individuels erratiques et isolés. Ce n’est pas le cas. Elles sont aussi le fait de groupes organisés.
Quelle mouche a bien pu piquer Naomi Wolf ?
La complosphère s’ingénie à faire passer l’assassinat du journaliste américain James Foley pour un « canular », un « fake », une « mise en scène » ou encore une « supercherie hollywoodienne ».