À deux jours de l’élection présidentielle roumaine, les théories complotistes s’invitent dans le débat électoral. Nationaliste, antivax et fan de Donald Trump, le candidat d’extrême droite George Simion donne du grain à moudre à la sphère complotiste déjà bien implantée en Roumanie.
À deux jours de l’élection présidentielle roumaine, les théories complotistes s’invitent dans le débat électoral. Nationaliste, antivax et fan de Donald Trump, le candidat d’extrême droite George Simion donne du grain à moudre à la sphère complotiste déjà bien implantée en Roumanie.
Exaltée par ce nouveau mandat de Donald Trump, la sphère complotiste n’espère qu’une chose : que le futur président réforme en profondeur le pays et puisse vaincre "l'Etat profond" qui entrave sa politique. Une obsession tenace, partagée au sein même de la garde rapprochée du président.
Exaltée par ce nouveau mandat de Donald Trump, la sphère complotiste n’espère qu’une chose : que le futur président réforme en profondeur le pays et puisse vaincre "l'Etat profond" qui entrave sa politique. Une obsession tenace, partagée au sein même de la garde rapprochée du président.