Trente ans jour pour jour après l’explosion meurtrière du RER B à Saint‑Michel, le spectre d’une « exécution d’État » hante toujours la mort de Khaled Kelkal. À l’ombre de la guerre civile algérienne, le conspirationnisme prospère.
Rue89 relaie la thèse de l’éditeur François Gèze : les attentats du GSPC-AQMI seraient l’œuvre d’un clan militaire algérien pro-américain désireux de capter la rente pétrolière. Une hypothèse qui, en l’absence de la moindre preuve, vire au récit complotiste.