Élie Guckert est journaliste indépendant, spécialiste de la propagande russe et des conflits en Ukraine et en Syrie. Il a collaboré avec Mediapart, Disclose, Bellingcat, Slate, Street Press et Conspiracy Watch.
La journaliste canadienne, qui soutient que les Tutsi ont participé à leur propre génocide, a bénéficié en France d’une large publicité. Seul média mainstream à lui ouvrir ses colonnes : l'hebdomadaire Marianne.
Une enquête de Bellingcat révèle que Jim Watkins, l’administrateur du forum 8chan, a fréquemment échangé avec des membres importants de la mouvance QAnon. L’homme d’affaires est depuis longtemps accusé d’être derrière l'essor de ce nouveau mouvement complotiste.
L’incident d’Avignon impliquant un individu armé vêtu d’une doudoune « Génération Identitaire » a mis la fachosphère dans l’embarras. Pour s’en dédouaner, ses partisans jouent la carte du « false flag ». Un dangereux cocktail de radicalisation fait de complotisme et d’incitation à la violence.
Invité par BFM TV, Jean-Marie Bigard a pu déballer au sujet de l’épidémie de Covid-19 des théories qui apparaissent encore plus grotesques en pleine seconde vague. Un exemple de conspirationnisme diffusé à une heure de grande écoute, avec des conséquences concrètes sur la lutte contre la pandémie.
En cherchant à prouver que le « Russiagate » n’est qu’une « fake news », le site « France Soir » démontre surtout qu'il a basculé dans le complotisme le plus échevelé.
À la tête d’une immense machine à désinformer, l’oligarque incarne à lui seul le concept de la « guerre hybride » et se tiendrait déjà prêt pour perturber l’élection américaine de novembre.
Depuis l’hospitalisation d’Alexeï Navalny jeudi dernier, les médias russes ont diffusé plusieurs théories alternatives à celle de l’empoisonnement. Des théories qui se contredisent entre elles, mais qui obéissent à la stratégie habituelle du Kremlin : saturer l’espace informationnel pour étouffer la vérité.
En 2013, le monde découvrait les images de la terrible attaque chimique perpétrée dans la Ghouta de Damas par le régime syrien. Un crime nié par un chercheur du MIT à la retraite et un « journaliste indépendant » fan de Dieudonné. Autopsie d’un cas d’école.
L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques est la cible d’une campagne de désinformation au sujet de son enquête sur l’attaque chimique de Douma. Une campagne émanant de personnalités connues pour relayer les propagandes de Damas et de Moscou sur la Syrie.