Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine #13).
Des gros titres aux petites infos passées inaperçues : ce qu’il fallait retenir de l’actualité des derniers jours en matière de conspirationnisme et de négationnisme (semaine #13).
Contrairement à ce que présuppose une idée-reçue tenace, l'antisémitisme n'a jamais servi à désigner autre chose que la haine des Juifs.
Alors que les actes antisémites ont représenté 40 % des actes racistes enregistrés en France au cours des cinq dernières années (les Juifs constituant moins de 1% de la population), la Revue des deux Mondes consacre son dernier numéro à la condition juive en France. L'occasion de dresser un état des lieux de la « nouvelle judéophobie » comme l'a désignée Pierre-André Taguieff au début des années 2000.
Des études récentes révèlent que l’antisémitisme concerne plus des 2/3 de la population grecque. Les théories du complot et l’antisémitisme sont, en Grèce, les deux faces d’une même pièce.
Que nous dit la réédition, quinze ans après sa sortie, de cette compilation d'échanges entre le linguiste américain et des étudiants ?
Agé de 83 ans, l'intellectuel tiers-mondiste est convaincu que les Etats-Unis sabotent le Venezuela, qu'ils ont assassiné Hugo Chavez et que le leader de l'opposition Henrique Capriles est un agent de la CIA.
Gérald Bronner, auteur de La démocratie des crédules (PUF, 2013), a donné au printemps dernier une conférence au CEFIR. Il y évoque les arguments complotistes qui surviennent presque automatiquement à chaque annonce d'un nouvel attentat terroriste ainsi que les raisons pour lesquelles les théories du complot nous paraissent parfois si irrésistibles.
La scène se déroule en février 1944, à l’ambassade d’Allemagne à Paris. Céline dîne en compagnie de son hôte, l’ambassadeur Otto Abetz, de l’écrivain Pierre Drieu La Rochelle, de l’historien Jacques Benoist-Méchin et du peintre Gen Paul. Les différents revers infligés à la Wehrmacht sur le front de l’Est annoncent des temps difficiles pour les collaborationnistes français.